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Électronique marine : quand le circuit imprimé devient le cœur de votre bateau

À bord des unités les plus racées, il y a désormais plus de semi-conducteurs que de voiles. Gestion moteur, navigation, sécurité, confort : tout transite par une ou plusieurs cartes électroniques. Qu’une carte rende l’âme et la sortie du week-end peut virer au casse-tête logistique. La bonne nouvelle ? Une réparation ciblée suffit souvent à relancer la machine.

1. Les cartes indispensables

  • ECU moteur in-bord / hors-bord : pilote l’injection, l’allumage et les dispositifs antipollution.
  • Gestion charge / batteries : équilibre les bancs AGM ou Li-ion et évite la décharge profonde.
  • Pilote automatique & navigation : croise GPS, gyrocompas et anémomètre pour tenir le cap.
  • Tableau de commande électrique : orchestre pompes de cale, feux de navigation, guindeau.
  • Contrôle climatisation & dessalinisateur : assure le confort sur les longues traversées.

2. Premiers signaux d’alarme

  • Alertes NMEA 2000 à répétition ou messages « lost communication » sur le bus CAN.
  • Démarrage moteur capricieux, régime instable ou surconsommation.
  • Arrêts soudains du pilote : le bateau lofe sans prévenir.
  • Pompe de cale muette malgré flotteur engagé : danger d’infiltration.
  • Odeur d’ozone ou point chaud sur le tableau électrique.

En mer, la redondance est un luxe : traquer la panne dès le premier symptôme évite l’appel au largue.

3. Trois ennemis du milieu salin

  1. Brume salée et forte hygrométrie : corrosion sous les boîtiers BGA, vert-de-gris sur connecteurs.
  2. Vibrations et chocs (mer formée, hauts régimes) : micro-fissures de soudure, décollage des CMS.
  3. Surtensions alternateur ou solaire : régulateurs et MOSFET en court-circuit, pistes brûlées.

4. Réparer ou remplacer ?

  • Carte neuve constructeur : 800 € à 1 500 €*, délai 3 à 8 semaines (souvent en import) et disponibilité aléatoire sur les modèles anciens.
  • Réparation ciblée : 300 € à 550 €, retour à flot en 4 à 8 jours ouvrés avec des composants équivalents.

*Pour un ECU ou un tableau 12 V : chiffres indicatifs, transport non compris.

5. Prolonger la vie de vos cartes

  • Glisser un déshumidificateur dans la cale technique.
  • Monter les cartes sur silent-blocs et serrer les borniers au couple.
  • Intercaler un surge-guard 24 V entre alternateur et bus DC.
  • Rincer les connecteurs à l’eau douce (spray contact bienvenu) après chaque sortie.
  • Mettre les firmwares à jour avant la saison et enregistrer les données CAN pour tracer la moindre anomalie.

En conclusion

À l’ère du yachting connecté, la carte électronique est le cerveau numérique du bateau. La remplacer systématiquement ? Coûteux, long, et peu durable. Une réparation ciblée, certifiée et tropicalisée remet votre navire à flot en quelques jours et allège la facture comme l’empreinte carbone.

Un doute ? Un clignotement suspect ? City-Électronique transforme vos pannes marines en simple brise, pas en tempête financière !

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